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Immigration Canada 2019- Quel avantage!

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La victoire minoritaire des libéraux aux élections fédérales du 21 octobre signifie que le système d’immigration du Canada restera probablement stable tant qu’ils pourront maintenir la confiance du Parlement.

Bien que les libéraux aient besoin de l’appui d’au moins une autre partie pour faire adopter un projet de loi par le Parlement, ce qui nécessitera des négociations et des compromis, il est difficile d’imaginer que la politique d’immigration fera l’objet de négociations acharnées, étant donné les points de vue semblables exprimés par les différentes parties. part du Parlement sur le sujet.

370 000 immigrants d’ici 2023.

Les niveaux d’immigration devraient encore augmenter sous un gouvernement minoritaire libéral.
Selon leur plan actuel, l’objectif passera de 330 800 en 2019 à 350 000 en 2021, et leur programme électoral suggère que cette tendance se maintiendrait si le nouveau mandat leur était confié.

Compte tenu de l’approche progressive adoptée par les libéraux ces dernières années, on peut s’attendre à ce que les objectifs d’immigration augmentent d’environ 10 000 nouveaux arrivants chaque année après 2021, ce qui signifie que le Canada pourrait viser environ 370 000 immigrants d’ici 2023.

Programmes pilotes: tous les yeux sur le programme de candidats municipaux.

Au cours de leur premier mandat, les libéraux ont lancé plusieurs programmes pilotes d’immigration de classe économique. Le plus remarquable d’entre eux est le projet pilote de l’immigration dans l’Atlantique, qui, selon les libéraux, deviendrait permanent s’ils obtenaient un autre mandat.

Tous les regards se tournent maintenant vers le Programme de candidats municipaux (PNM), que les libéraux ont promis d’aider les plus petites villes du Canada à attirer plus d’immigrants.

Peu de détails sur le PNM sont apparus, mais il suscitera certainement l’intérêt national, étant donné les défis auxquels la plupart des villes canadiennes sont confrontées pour attirer des immigrants.

Hormis le Nouveau-Brunswick, la Saskatchewan et l’Alberta (qui ont chacune au moins deux grandes villes), les sept provinces restantes du Canada voient au moins 80% de leurs nouveaux arrivants se rendre dans leur principale ville.

Les critères de sélection du PNM seront vraisemblablement inspirés du projet pilote d’AIP et d’immigration dans le Nord rural (RNIP), qui a également été lancé par les libéraux. Cela signifie que le PNM permettra aux employeurs des municipalités désignées par le gouvernement fédéral d’appuyer les demandes d’immigration des nouveaux arrivants qui répondent à leurs besoins en main-d’œuvre.

L’une des principales questions entourant le MNP est de savoir comment les libéraux allaient distribuer 2 750 places principales (nombre maximum d’immigrants pouvant être sélectionnés dans le cadre d’un programme pilote) dans un pays comptant 35 régions métropolitaines de recensement – des villes comptant au moins 100 000 habitants – 117 agglomérations de recensement ayant une population de 10 000 habitants ou plus.

Les libéraux peuvent décider de restreindre l’admissibilité du MNP en empêchant les provinces de l’Atlantique et toutes les communautés désignées en vertu du RNIP d’utiliser le MNP.

Cela signifierait que seules les petites et moyennes villes de l’Ontario, du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique seraient en mesure de bénéficier du programme.

Citoyenneté:  une baisse du nombre d’applications, suivie d’une poussée.

L’engagement pris par les libéraux de supprimer les frais de citoyenneté pour les résidents permanents admissibles donne à penser que le taux d’acquisition de la citoyenneté déjà élevé du Canada augmentera encore.

Les adultes doivent actuellement payer 530 $ plus une «taxe de droit de citoyenneté» de 100 $ pour soutenir leur demande de citoyenneté.

Le choix rationnel pour ceux qui sont actuellement éligibles pour demander la citoyenneté sera d’attendre que les libéraux adoptent une loi mettant en œuvre ce changement. On peut donc s’attendre à une baisse à court terme des demandes de citoyenneté, suivie d’une forte augmentation.

Les libéraux ont prévu 110 millions de dollars pour 2023-2024 afin de faire face à l’augmentation attendue du nombre de demandes, soit 40% de plus que ce qu’ils prévoyaient dépenser pour mettre en œuvre cette politique au cours du prochain exercice financier du gouvernement fédéral (75 millions de dollars).

Cela indique qu’ils s’attendent à ce que cette politique se traduise par une augmentation d’environ 40% du nombre de nouveaux citoyens d’ici 2024.

Financement de règlement: prévoir de nouvelles augmentations.

Les gouvernements conservateurs et libéraux ont surveillé de près les augmentations substantielles du financement des établissements fédéraux au cours des 20 dernières années. Les libéraux ont poursuivi cette politique pendant leur premier mandat.

L’enveloppe des règlements fédéraux, qui finance des services visant à favoriser l’intégration économique et sociale, se chiffre actuellement à 1,5 milliard de dollars et devrait encore augmenter à mesure que les libéraux augmentent leurs niveaux d’immigration.

La stabilité du système d’immigration est fonction de l’exceptionnalisme canadien.

Bien que le retour au pouvoir des libéraux maintienne la stabilité du système d’immigration, un résultat différent aurait probablement également permis de ne pas toucher aux politiques d’immigration du Canada.

La campagne de 2019 a mis en évidence le fait que les principaux partis du Canada partagent le même point de vue fondamental sur l’immigration, à savoir que l’accueil des nouveaux arrivants est essentiel au développement économique du pays.

Tous les partisans de l’immigration devraient célébrer cette célébration, quelle que soit leur affiliation politique, car elle souligne à quel point le Canada est unique parmi les démocraties occidentales à une époque de polarisation croissante à travers le monde.

Bien sûr, cette exception est aussi due au calcul politique: en 2019, il est pratiquement impossible de réussir une élection fédérale canadienne sans le soutien des électeurs immigrants.

Conclusion.

Enfin, le Canada ouvre ses portes pour les prochaines années, et c’est l’une des meilleurs déstination  pour les gents aui désirent s’expatrié. n’hésitez pas à suivre le programme qui vous convient le plus pour immigrer et aussi utilisez les outils nécessaires pour y parvenir.




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